Fessée pour cause de radar

Catégories : Femmes fessées
il y a 9 ans

Peu après mon mariage, mon mari s'aperçut vite de ma tendance naturelle à ne pas trop respecter les limitations de vitesse. A la deuxième amende reçue en trois semaines, il me prit entre quatre yeux, et dit que si ça se reproduisait, il ferait en sorte qu'il n'y ait jamais de quatrième fois. Je lui demandais ce qu'il comptait faire, et il se contenta d'un "tu verras bien, mais je ne te conseille pas de tenter le diable...". Le samedi suivant, alors que nous faisions des courses dans le bodyshop du centre commercial, je le vis examiner une grosse brosse à cheveux en bois.

Je lui fis remarquer qu'on en avait pas besoin, ayant une plus pratique et plus légère à la maison, mais, sans se soucier de la vendeuse (nous étions alors seuls dans le magasin), il me claqua les fesses avec le dos en bois, en précisant, "ça peut toujours servir, pense à tes excès de vitesse". Il n'avait pas tapé très fort, mais malgré mon jean et ma culotte je ressentais une intense cuisson de mon épiderme. Le lieu n'était pas propice à des explications orageuses, et je mis la brosse dans le panier. A la caisse, la vendeuse, en passant la brosse devant le lecteur de code barre me fit remarquer, avec un sourire en coin, que j'avais de la chance, parce que cet article était très demandé et souvent en rupture de stock. Puis elle se retourna vers mon mari et lui dit "à utiliser quand même avec modération..." Rouge comme une pivoine, je glissais ma carte bancaire dans le lecteur. Puis, au supermarché, il glissa un sablier dans le caddie, et je me dispensais de toute remarque. De retour à la maison, il m'expliqua qu'il ne tenait qu'à moi que ces achats restent dans le tiroir de la table de nuit, mais que si je recommençais mes imprudences au volant, ça barderait pour mes fesses. Je protestais en vain, sachant au fond de moi qu'il n'avait pas vraiment tort. En plus, bien que je n'ai jamais été fessée dans mon enfance, je dois reconnaître que j'ai toujours pensé que les châtiments corporels étaient, dans la vie domestique, les plus efficaces. Mais je n'avais malgré tout guère envie de voir appliquer ces beaux principes à moi-même...

Aussi, quand deux mois plus tard je fus flashée par un radar mobile, je rentrais à la maison dans mes petits souliers, espérant ne pas recevoir le funeste avis de contravention. Malheureusement, il atterrit effectivement dans notre boite aux lettres quelques jours plus tard, et je dus affronter la colère froide d' Olivier qui m'annonça que ça se réglerait avant d'aller se coucher. Je lui promis de ne jamais recommencer, mais il resta sourd à toutes mes supplications pour ne pas être punie de cette façon.

Vers 21 heures, sur son ordre, j'allais dans notre chambre et revins dans le salon avec la brosse et le sablier. Olivier s'assit dans un fauteuil confortable, et me dit de baisser mon jean et ma culotte au niveau des chevilles.

Il me fit signe de m'étendre en travers de sa cuisse gauche, et il bloqua mes jambes avec sa jambe droite. Il m'attrapa le poignet droit avec sa main gauche, pour le maintenir fermement derrière mon dos. J'étais à peu près immobilisée, toute tentative de ruer dans les brancards étant neutralisée par une torsion du bras. Sur la table basse devant lui, il y avait le sablier et la brosse. Il m'expliqua alors comment ça allait se passer : "Je vais te fesser pendant trois minutes, à raison d'un coup toutes les deux secondes environ, et quelques soient tes cris ou tes pleurs, j'irais jusqu'au bout, même si cela ne m'amuse guère. Prépare tes fesses..."

Il retourna le sablier, saisit la brosse et commença ma correction. Je fus surprise par l'intensité du premier coup, sans commune mesure, sur la peau nue, avec ce que j'avais ressenti dans le magasin. En plus, je pense qu'Olivier frappait nettement plus fort. Ce n'est pas très facile pour moi de décrire mes propres réactions, car à ce moment là je pensais vraiment à autre chose qu'à analyser ce qui se passait. En fait mon esprit fut immédiatement et uniquement focalisé sur les douloureuses sensations imposées à mes pauvres petites fesses.

Au début, j'ai essayé de garder une certaine contenance en contrôlant ma respiration, un peu comme lors d'un jogging, mais la douleur montait, montait, d'autant plus que la brosse atterrissait maintenant sur des zones déjà bien sensibles. Et puis, bien avant la moitié de la durée prévue, la panique me submergea d'un coup : "non, c'est pas possible, je ne vais pas pouvoir en supporter davantage, il faut absolument que cela cesse …". Je suppliais en tortillant vainement mon popotin pour essayer de le soustraire aux coups, et puis comme la fessée continuait au même rythme, je fondais en larmes et commençait à brailler comme une sale gamine. J'aurais donné n'importe quoi pour que ça s'arrête.

La douleur était telle que je perdis la notion du temps. Deux minutes, c'est rien, mais dans ces circonstances, c'est interminable. ... enfin cela s'arrête, Olivier m'aide à me relever, je suis en sueur, en larmes, ébouriffée, le visage rouge et les yeux gonflés, et je sautille d'un pied sur l'autre en frottant mes pauvres fesses, écarlates, abandonnant sur place mon jean et mon slip. Olivier m'ordonne d'aller au coin, mains sur la tête, et je dois exposer ainsi mon postérieur incandescent pendant un quart d'heure, avant d'être autorisée à aller prendre une douche.

Olivier me fait remarquer que mes fesses ont exactement la couleur de ma voiture, juste retour des choses ou justice immanente. J'ai tout le temps pour réfléchir à ce qui vient de se passer, et curieusement, je n'en veux pas du tout à Olivier d'avoir été aussi sévère. Je pense même qu'il aurait baissé dans mon estime s'il s'était laissé attendrir, parce qu'au fond, je sais que j'ai bien mérité ce qui m'arrive. Mes sanglots se calment, pas le feu qui ravage mes fesses, mais celui-ci propage une douce chaleur entre mes cuisses, et je me sens brusquement tout humide... Une demi-heure après le début de ma correction, je sors de la salle de bain, propre et sèche, mais les fesses toujours bien douloureuses. En tenue d'Eve, je rejoins notre chambre où Olivier m'attend, allongé sur le lit. Il est nu, la couette est rabattue vers le bas, et il n'y a pas la moindre ambiguïté à ce qu'il attend de moi. A ce moment, je me dis que je devrais le détester, et je m'aperçois que jamais je ne l'ai tant aimé... Je me glisse sur lui et m'empale sur son membre frémissant, et je commence à onduler doucement, en frottant mon clitoris contre lui.

Cela dure longtemps, Olivier est très doux et c'est très bon, mais il me faut plus de vingt minutes pour jouir. Mais c'est un orgasme extrêmement puissant qui me fait à nouveau crier, cette fois de plaisir, Olivier explosant en même temps au fond de moi. Nous restons encore plusieurs minutes dans les bras l'un de l'autre. Le lendemain au réveil, j'avais encore les fesses bien endolories, avec des élancements, mais ça s'est calmé peu à peu au cours de la journée. Encore 24 heures plus tard, je me suis réveillée avec un derrière légèrement irradiant, mais la douleur avait disparu, mes fesses ayant pris une affreuse couleur avec des marques bleu verdâtres. Et il fallu quinze jours pour qu'elles retrouvent totalement leur douce blancheur.

Céline

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